1989 Marseille – Festival International d’Art de Groupe (avec le groupe Radical)

Le point de départ est une poutre en T.  A l’opposition matière (ici, le sable) / image (T peint au mur, reflets de néons dans l’huile) s’ajoute ici le concept d’énergie : lumière a demi emprisonnée dans des tubes néon peints en noir.
L’aspect religieux de cette réalisation est apparu de façon inconsciente ; sans doute l’influence du lieu (les abattoirs de Marseille) : quelques temps plus tard, Charles Payan entendra le cinéaste Zefirelli parler de son film, Jésus de Nazareth, inspiré par le souvenir de résistants italiens empalés à des crochets de boucher.