« La peinture était pour moi affaire de Musées, quelque chose de lointain. Seuls, papier et peinture à l’eau étaient accessibles. Un jour, je découvre des tubes de peinture à l’huile. Un morceau d’isorel remplacera la toile : quelques lignes et de la couleur donneront les Petites filles kabyles. » Charles Payan